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Jeudi 12 Juillet 2018

Delta Festival : baignade, glissade, rigolade

Delta Festival : baignade, glissade, rigolade

Danser les pieds dans l’eau, sauter dans des attractions dignes d’Intervilles sous le soleil brûlant de juillet sur la plage du Prado à Marseille, c’était le beau programme proposé par le Delta Festival. Magma y était, on te raconte.

Autant le dire tout de suite, on n’a pas pu voir les (nombreux) artistes de ce Delta Festival. Mais la faute à qui ? À mon âme d’enfant, et aux organisateurs qui l’ont comblée avec un gigantesque espace de jeux et attractions accessibles à tous. Entre fête foraine et épreuves abracadabrantesques, c’est un drôle de village qui s’agite sous nos yeux. Une armée de bénévoles étudiants venue de toute la France anime le tout. Et il y en a pour tout le monde. Là des combats de Sumo avec combi à enfiler, ici des toboggans à eau géants, là encore un baby-foot humain. Avec la chaleur de ce premier weekend de juillet, le spot fait rêver. Malgré le monde, le temps d’attente pour chaque attraction est raisonnable. Pour la bouffe en revanche, mieux vaut prendre son mal en patience, idem sur le stand des tokens, seule monnaie autorisée sur le festival. Gros big-up en revanche pour l’accès aux toilettes toujours accessibles, pour les filles comme pour les garçons, et aussi propres qu’on peut le souhaiter pour un festival de cette ampleur.

Hip-hop et House les pieds dans l’eau

Entre deux structures gonflables, on se laisse tenter par la scène tremplin. Un jeune dj -Butters Keaton- y fait sa première scène. Il nous fait danser sur sa trip-hop bien smooth, particulièrement adaptée sous ce soleil.
Avec une bière dans le gosier et un premier coup de soleil sur la nuque, la deep-house de Feder est parfaite pour ouvrir le bal sur la scène principale. On y chauffe vite, la foule est déjà dense. Mais là réside tout l’intérêt du festival. On danse, on brûle, on se baigne. Et rebelote. Sur la scène principale, le hip-hop d’hier et d’aujourd’hui est à la fête. Disiz puis Caballero et Jeanjass font chanter les festivaliers sur des titres qu’ils connaissent par cœur. Après un énième bain, on tombe sur la seconde scène à une dizaine de mètres de l’eau. Ann Clue fait sauter la foule sur un soleil couchant. A peine le temps de commander une bière que Paul Ritch prend la suite. Sa techno tabasse juste comme il faut. On aimerait danser les pieds dans l’eau mais la baignade est interdite à partir de 20h. Pour des raisons de sécurité certes, mais voir l’accès à la mer bloquée par une rangée de barrières serre un peu le cœur. Dommage. On ne va pas se plaindre, on s’est bien marré pour cette première journée.

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Lendemain chill

Le dimanche est bien plus calme. Les attractions se sont envolées pour laisser place à des licornes gonflables aux couleurs arc-en-ciel dans lesquelles on peut barboter (moyennant caution tout de même). Plus de scène principale et une affluence divisée par deux. Ce n’est peut-être pas plus mal. On se balade plus librement et on ne reste jamais bloqué plus de 5 minutes pour une bière ou un sandwich. Sur la scène plage, on découvre le duo Bleu Toucan. A l’instar de Polo & Pan, leur musique est une invitation à célébrer l’été. Leur set est malheureusement interrompu par deux coupures d’électricité. Des problèmes techniques vite oubliés. Dj Moxo enchaîne des classiques de la funk et de la house. A la fin du set, Bengous en profite pour débarquer de nulle part et faire sauter les marseillais en cette coupe du monde (On est en finale, bordel !, ndlr) et nous demander “Oueskon Va Keskon Fait” ? Ma foi. On est bieng. Le cadre a de la gueule tout de même. Des étudiants parisiens s’extasient sur la beauté des collines de Luminy et ils ont bien raison. Il fait beau, il fait bon. C’était le Delta. A l’année prochaine.

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