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Mercredi 13 Juillet 2016

Nhobi or not to be

Nhobi or not to be

Déjà bien présent sur les murs de la cité phocéenne, le graffeur Nhobi laisse cette fois-ci son empreinte sur la couverture de Magma. Le Brésilien est aujourd’hui une figure incontournable dans le microcosme du street art marseillais avec un univers reconnaissable au premier coup d’œil. Des visages dans les arbres, des corps dans les fissures, des animaux dans des grains de beauté, une maison dans une chevelure… Ce qui ressort de ses travaux c’est une certaine nostalgie qui se nourrit de l’enfance et de la beauté inconnue des siècles passés, figés dans le temps par les conteurs.

Hebergeur d'image

Rien n’est fait au hasard avec Nhobi : « Je peux dire que l'idée de la forêt est née du projet « matutos » qui est un appel au retour aux choses simples, à la nature. Je crois que c'est ce qu'on recherche tous à travers le voyage (même si l'on ne va pas loin) : le dépaysement, la rupture avec les filtres de l'urbain tels le béton et la technologie. Je crois que le voyage sert à cela, à se reconnecter avec notre matrice, à réapprendre, à voir les choses différemment  (d'où les jumelles) ».

Hebergeur d'image

Nhobi commence à graffer en 1996 au Brésil, dans la banlieue de Rio de Janeiro. Là-bas, il fait une école de design avant de créer sa propre marque à l’âge de 23 ans. Il participe même à la Fashion Week de Rio. C’est en succombant aux charmes d’une française expatriée qu’il s’installe à Marseille et sur ses murs.

 

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