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Vendredi 08 Novembre 2019

Superbe soirée électro-pop au Festival Meltin'Art !

Superbe soirée électro-pop au Festival Meltin'Art !

Début novembre, le Meltin'Art Festival a lancé sa cinquième édition. Pour la troisième soirée de cet événement, Le Makeda accueillait des artistes émergents de la scène électro-pop. On vous raconte comment c’était !

Le Makeda, 20h30. Pour la troisième soirée du Festival Meltin'Art, la salle de concert accueille Martin Mey, La Vague et Inüit. Autrement dit, la soirée s’annonce riche en électro-pop et en jeunes talents émergents. Sur les coups de 21h, c’est le duo La Vague qui ouvre le bal. Encore méconnus, les deux artistes se mettent très vite le public dans la poche. Le duo est animé par une énergie communicative : les artistes se déplacent avec aisance d'un instrument à un autre et descendent dans la fosse avec le public, subjugué par ce qui se passe. Pour fêter la sortie de leur album, ils jouent des chansons extraites de celui-ci et qui traitent de sujets divers : l'amour, la sensibilité masculine ou encore le pardon. Le duo interprète également sa reprise de What is love, la fameuse chanson de Haddaway.

C’est maintenant au tour de l'artiste attendu par la plupart des fêtards de monter sur scène : Martin Mey. Compositeur, chanteur et musicien, il a joué les morceaux de son nouvel album Words (Without) pour la première fois à Marseille. Des mélodies downtempo et électrisantes, mélangées à sa voix, ont rythmées le Live Set. Maniant avec dextérité son synthétiseur, son looper et sa boite à rythme, Martin était seul sur scène mais avait tout d'un chef d'orchestre. Calme et composé, l'artiste a mis le feu au dancefloor ! S’agissant de la scénographie, cette dernière était fidèle à l'identité visuelle de l'artiste : tout de noir vêtu, il était éclairé d’une douce lumière blanche.

Changement de plateau, quelques tests sons, un cri de guerre, et hop ! Inüit s'y met à son tour. Pour la déco, le cœur en néon est remplacé par des panneaux à effet aluminium à l'arrière de la scène. Pourtant, ce qui captive les spectateurs n'est pas le jeu de lumières, mais le nombre d'instruments qui sont manipulés par les six membres du groupe. Batterie, trombone, tambourin, synthétiseur... La divergence de ces derniers met l'accent sur le style électro-acoustique du sextuor. Le groupe nantais a repris ses plus gros hits qui ont fait chanter et danser les fêtards les plus téméraires. Transportée, je n’ai pas vu le temps filer. Mais une chose est certaine : la soirée s’est terminée en force ! De quoi donner envie de rendre une nouvelle visite au Meltin’Art d’ici le 16 novembre, la date de sa clôture.

 

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