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Jeudi 03 Novembre 2016

Tremblez pauvres mortels : WeAre Together!

Tremblez pauvres mortels : WeAre Together!

C’était la Der des Ders… l’asso’ WeArt tire sa révérence et termine en beauté ses soirées résolument électro en ce soir d’Halloween 2016. Après une trentaine d’événements ayant forgé sa légende, WeAre Together! - The Last Episode a tenu son rang en terme de prog’. Impossible pour nous de manquer ça : récit d’une nuit ô combien agitée

Un peu plus d’une semaine après le succès de la 25ème Fiesta des Suds, le bateau du Dock des Suds a de nouveau largué les amarres pour un After cette fois-ci aux sonorités Techno et Trance. Même lieu donc, mais changement radical de public et d’ambiance, la jeunesse était invitée à venir se déchainer jusqu’à l’aube dans ce marathon musical. 21h30 : on embarque dans cette aventure sans peur ni regret, direction la Main Stage et ses têtes d’affiche.

Un Brésilien à mi-chemin entre Rock et Techno - Gui Boratto.
Quoi de mieux qu’un mélange des genres pour bien commencer la soirée ? Avec Gui Boratto, le voyage débute tout en douceur avec une Acid House venue des US dans le courant des années 80. Le Brésilien n’hésite pas à ajouter sa petite touche perso : une influence rock avec des sons de guitare. Perçues au loin, des voix nous transportent sur un rythme lancinant mais tellement plaisant. Derrière lui, un écran géant diffuse des images psychédéliques qui s’entremêlent aux vibrations des basses. Le son No Turning Back vient nous rappeler qu’on a bien fait de venir. L’air extérieur de la scène est doux pour une soirée de fin d’octobre, après tout on est à Marseille !

L’électro parfumée de Cologne - Andhim.
S’ensuit une transition avec les deux Allemands d’Andhim. Les festivaliers commencent à arriver par vagues tout en gardant un certain espace pour pouvoir se trémousser sans complexe. On décide d’une première pause bien méritée pour recharger nos batteries : les tireuses à bières coulent à flots, même si pour ce genre de soirée les bouteilles d’eau sont un concurrent tout aussi important. Allez savoir pourquoi, sans doute pour éviter le mal de mer !

Petit tour du proprio : 3 salles (Main Stage, Techno et Trance) et un hall du Dock bien rempli. À 40€ la place, chapeau ! Halloween oblige, beaucoup de festivaliers ont joué le jeu. Les démons de minuit sont parmi nous, on court se réfugier à nouveau sur la Main Stage pour la fin du set d’Andhim. Porté par des airs discos, leur électro parfumée se propage rapidement dans l’air à l’aide d’une House revigorante.

L’icône de la Techno berlinoise - Paul Kalkbrenner.
C’est tout ce qui nous fallait pour préparer au mieux le point culminant de la soirée : Paul K ! Minuit, le temps n’est plus un repère, l’Allemand débarque dans une Main Stage bouillonnante. L’appel de Berlin se fait entendre, le show peut commencer. Avec un set d’une heure trente, LA tête d’affiche mixe ses titres les plus connus en testant pas mal d’expérimentations. Nos sensations varient en fonction des sons et de la scénographie. En plein milieu de sa performance, alors qu’on l’attendait plus comme le final, Sky and Sand, porté par la voix de son frère Fritz Kalkbrenner, vient résonner dans nos oreilles. À cet instant, la Terre aurait bien pu s’effondrer, notre royaume était dans les cieux. C’est finalement Aaron qui conclura un set majestueux et onirique. On ne boude pas notre plaisir. Place à une deuxième pause bien méritée.

L’alliance magique - N’to L2L Joachim Pastor.
Après quelques minutes à se remettre de nos émotions, frais comme des gardons, nous retournons à la Main Stage pour le dernier live, et non des moindre puisqu’il s’agit de deux pontes de la scène électro Française : N’to et Joachim Pastor. Mélangeant leurs styles respectifs, les deux DJs alternent leurs morceaux avec cette plus-value collaborative. Une alliance convaincante qui a fait le bonheur de nombreux festivaliers !  

Se finir à la Trance - Belik Boom et Mandragora
3h : clap de fin pour la Main Stage. La foule se déplace massivement dans la partie intérieure de la WeAre pour profiter des deux salles restantes aux univers différents. Avec une préférence pour la Trance, on se dirige tout naturellement vers le set de Belik Boom. L’Israélien, loin d’être un illustre inconnu, s’est illustré par un remix magistral d’Harry Potter - Avada kadabra. Après quelques minutes à jouer des coudes pour se frayer un chemin au milieu de la salle, on parvient tant bien que mal à se dégoter une place. Danser est un bien grand mot quand on est serré comme des sardines… On se contente de ressentir les vibrations puissantes des basses et de s’évader à travers une scénographie toute en couleurs. Sans transition, Mandragora prend les commandes de la scène pour rester sur un même rythme. Après une bonne heure à gesticuler et toujours autant cloisonné, la fatigue commence à prendre le dessus et l’appel du dernier bus devient une évidence. Place à un nouveau voyage désormais, celui en direction du royaume de Morphée.

Crédit photo : WeArt

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