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Dimanche 03 Juillet 2016

Un Kolorz tout en nuances

Un Kolorz tout en nuances

Nul doute, l’été à bel et bien démarré ! Avec un soleil de Provence qui nous ensuque pendant la journée, il est primordial de se secouer un peu les puces une fois la nuit tombée. Sans l’ombre d’un doute, on a pris la direction de Carpentras vendredi soir pour s’offrir un bol d’air frais électro au Kolorz festival. Flashback sur l’événement. 

Arrivé sur place, 22h pétante. L’entrée du Kolorz s’effectue sur un parking géant délimité par des barrières de péage. Un lieu pour le moins insolite avec le château Duberson placé en plein coeur du Marché Gare. 
On file illico à l’espace Cashless afin de créditer notre carte Kolorz. L’avantage ? Payer rapidement ses consommations sans louper une miette du talent de DJs renommés !

Avant le début des hostilités on fait un petit tour du proprio. L’italien Sam Pagani fait vibrer sa techno sombre et novatrice sur la Main Stage ; une ambiance plus chill règne sur la seconde scène, le Club Trax, alors que d’irréductibles fans belges sont en train de voir leur équipe se faire éliminer de l’Euro sur un écran placé spécialement pour l’occasion.
Difficile de se perdre dans tout ça, le Kolorz est loin d’être immense et la foule n’est pas encore totalement au rendez-vous…

Hebergeur d'image

Sans jouer des coudes, on va se placer au milieu de la Main Stage pour notre plus grosse attente de la soirée : le DJ set de Vitalic. Le français, réputé pour ses lives visuels et sonores, reste fidèle à son style si personnel : des synthés mélodiques alliés à des riffs d’électro puissants. Pendant deux heures, il nous gratifie de ses morceaux et autres remix les plus connus tout en dévoilant quelques pépites pour son prochain album. On retient en particulier la grosse claque sonore du remix Funkytown de Lipps Inc

Le Kolorz, équipé du Sound-system Vero, n’a pas à rougir de la qualité de la sono, s’adaptant complètement à cet espace découvert. Tout comme sa scénographie jouant avec des effets de lumières simples mais terriblement efficaces. Seul bémol : le fait de ne pas avoir d’écrans géants sur la scène histoire d’ajouter des effets visuels à ces vagues électro house.

1h, Len Faki, le DJ résident du Berghain, l’un des plus célèbre club berlinois, débarque sur la Main Stage. Après avoir écumé de nombreux festivals comme le Weather ou Dour, l’allemand, également producteur, nous fournis une techno puissante alimentée aux basses. Avec lui, on n’est pas loin de perforer l’atmosphère !

3h, la nuit touche à sa fin. Chapeau bas à l’organisation qui a fait le job pour éviter tout incident et faciliter l’accès au site. On reste sur notre faim niveau ambiance globale, peu de folies en dehors de la scène comme on peut en voir sur d’autres festivals électro...
Samedi, les festivaliers auront une nouvelle fois une prog’ de qualité avec comme tête d’affiche Dave Clarke et Nina Kraviz. Une soirée qui promet elle aussi de sacrées performances sonores !

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